Je l’ai sucé pour lui remonter le morale…

C’était après une longue et dure semaine d’évaluation à l’Université. Un vendredi soir alors qu’on quittait le campus ensemble comme d’habitude, nous étions entrain de discuter du plan parfait pour nous divertir le samedi. Quand Marie eut la superbe idée d’organiser un barbecue chez elle, Christophe, Aline, Anne, Steve et moi étions d’accord. L’idée n’était pas mal. Fallait bien se divertir après tout le temps qu’on avait passé à réviser et à composer. Ce qui m’intéressa le plus, c’était le fait qu’on allait changer de lieu de divertissement. En effet, nous avons l’habitude d’organiser des sorties à la plage après chaque composition. Et pour la première fois, il va y avoir un changement.

Pendant qu’à l’unanimité, on validait l’idée de Marie, je sentis la curiosité de lui demander : si ses parents allaient aussi être présent au barbecue. Je voulais me rassurer du fait qu’on allait passer du temps uniquement entre amis. Et sachant que Marie vivait avec ses deux parents, je jugeai important de demander. « Non, ils sont partis en voyage » c’était la réponse de Marie. J’étais toute excitée quand j’entendis cette réponse. En fait, j’imaginais déjà toutes les folies qu’on pouvait faire sans qu’il y ait de sanctions venant des parents.

La décision étant prise, nous prîmes ensemble un bus qui nous déposa chacun dans notre zone de résidence. J’étais chez moi, il sonnait 22 heures  quand Christophe m’envoya un texto où il  m’annonça qu’il se sentait un peu triste et déçu et qu’il ne pouvait venir au barbecue du samedi. Curieuse, je voulus  savoir ce qu’il avait. Il me fit alors comprendre que Typhanie sa petite amie  venait de rompre avec lui.

– « Typhanie m’a envoyé une longue missive où elle dit avoir trouvé l’amour de sa vie » me fit-il.

Christophe était pourtant cool.  Je ne voulus pas vivre son absence le samedi. J’ignorais ce que j’avais mais je lui fis comprendre combien sa présence était importante pour moi.

Il me remercia. Le lendemain, je m’étais vite apprêtée pour me rendre chez Marie où il y avait presque tout le monde. Christophe n’y était pas. Sans trop attendre, nous fîmes le feu puis on enchaîna avec les grillades. Vers midi, Christophe apparut avec un regard chargé de tristesse. Je fus gênée de le voir ainsi, je lui proposai qu’on s’isole pour discuter. Ce qu’il accepta fébrilement. On s’éloigna alors des autres. Loin sur la cours, nous nous assîmes sur un sol bien gazonné. J’étais déterminée et attentionnée. Enfin je voulais aider. Il était diminué comme un footballeur blessé. J’eus envie de le sentir dans ma bouche. Je m’approchai de lui, le caressa sans qu’il ne dise mot. Je voulus pousser loin mes actions, j’ouvris la fermeture de son pantalon et saisis son gland mou sans défense que je n’hésitai à réveiller avec ma main. Son pénis était désormais tel un soleil au zénith, oui son pénis était bien chaud et brûlant. Je le mis tendrement dans ma bouche où je le suçai pendant longtemps.

Quand il tendait vers la jouissance, il voulut sortir son pénis de ma bouche, mais je m’accrochai à lui pour lui signifier que je voulais son sperme dans ma bouche. Il comprit et me fit une éjaculation buccale. J’avalai tout d’un trait.

Je vis après un magnifique sourire sur son visage et nous retournâmes auprès de nos amis au calme.